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Page:Choquette - Les Ribaud, 1898.djvu/240

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XII

DEUX PATRIOTES (Suite)

— Pardon, monsieur Ribaud, vous vous trompez, c’est mon fusil que vous tenez là, dit François.

— Tu as raison… Prends-le.

Et le docteur en tira un autre de dessous le siège du cabriolet. Cette fois, c’était bien le sien ; un bon vieux mous-