Ah ! ah ! vous m’oppreſſez du poids de votre corps ! ah ! Tullie, que deviendrai-je ?
Courage, courage, tu ne me fais point de pitié ; ne diroit-on pas, à t’entendre crier, qu’on va t’écorcher ? Cléante, ſerrez-la étroitement ; & toi, embraſſe pareillement Cléante : & moi, afin de n’être pas tout-à-fait inutile, je vais mettre l’oiſeau dans la cage. Ah ! il y eſt déja ; on diroit qu’ils ſont faits l’un pour l’autre : courage, Cléante, piquez bien, & n’épargnez pas votre monture.
Ah ! vous m’étouffez, ah Dieux ! comme vous m’agitez ! Tullie, retirez votre main ; pourquoi me chatouillez-vous ? Ah ! je ſens… ah, ah ! pouſſez à préſent, je conſens de bon cœur à tout ce que vous ferez.
Pouſſez de plus haut, Cléante ; réitérez vos ſecouſſes : & vîte, vîte ; ah, Dieux ! comme les… lui branlent !