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DES CATILINAIRES.


e ! ce seroii fermer les yeux sur V essentiel^ que de borner noire admiration à lélo^ quence incomparable de ce fameux Romain, sans t étendre jusqu’aux senismens vertueux y dont il avoit le cœur pénétré.

Avant que iS^ç^n venir aux Harangues, il sera bon de connoîlre Catisina. En voici deux Portraits, dont l’un est fait par Salluste, et l’autre par Cicéron luimême, long-temps après la mort de soa « nnemi.