Page:Cinq nô.djvu/147

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Awsumonr .¤» surrs et Tsuma. Au bord de la mer de Suma, bien court, hélasl est le “ Qui méne is ma maison et en raméne, [chemin S’enfonce dans la montagne et ressort sur la gréve (‘): Et de ma vie tristes sont ici les labeurs. Ah! si l’on m’interroge, ' Moi aussi je répondrai que ie me désole solitaire A la baie de Suma, · Chargé d’herbes salées (‘). Si l’on savait qui je suis (bis), . ]’aurais moi aussi des compagnons; Mais c’est trop [d’infortune], et de ma misére Les plus intimes memes se sont éloignés. [ronge]; je dois demeurer ici, c’est la pensée unique [qui me Et je traine ma vie, abandonné au malheur (bis). _ Le tsun remonte vers la droite; le sbite se rapproche de la colonne du shite. scEN1·: m. WAKI. Hola! je voudrais demander quelque chose aux fau- cheurs qui sont la. sn-irre. Est-ce at nous que vous parlez? Q_ue désirez-vous savoir? wluu. . Est-ce l’un de vous qui jouait de la fliite touta l’heure? ’ sn-ure. _ - Oui, c’est l’un de nous qui jouait. 5 ( L