Page:Cinq nô.djvu/165

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A T S U M O R I , i57 (•) Dechus de leur haute situation et reduits A la societe des miserables habitants de Suma. (*) Pins courbes iusqu’e terre par le vent de la mer. (') La fumee des feux des saunlers. (‘) Sheba, broussailles alimentant les feux et dont une couche etendue A terre servait de lit. · Comme on l’appelle ·, car ayant toujours vecu dans l’opulence et loin des campagnes, c’est alors settlement qu’ils ont appris A connaitre le shiba. (’) Formes poetiques chantees tres en vogue A cette epoque, comme plus bas les rod. Les {mayo-ata, ou slmplement {mayo, · poesies modernes ·, comptaient huit vers alternativement de ‘ sept et cinq syllabes, et etaient purement japonalses; les rdei etaient en chlnois et de dimensions variables. Page 151 : (*) Cette danse symbolise la fete donnee par Tsunemori. (') I1 n’y a pas ici de waka; par contre tout le recit qui sult est - dense et mime. Page 152 : . (‘) Le shite jette son eventail, et tire son sabre; suivant le mou- » vement du recit, il en frappe quelques coups, puis simulant une lutte, tombe assis. (‘) Il se releve et, le sabre haut, marche sur le waki, qui frotte son rosaire entre ses mains etendues, symbole de priere. C‘est cu vertu d’un karma anterieur qu’i1s se sont rencontres une Premiere foie, et cette rencontre en a determine un nouveau qui les reunit une seconde tois. (') Le shite recule et retombe assis. (‘) Il iette son sabre, et les mains iointes dans Pattltude de la Pfiere, se tourne vers le wah! pendant le chant du dernler vers.

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