Page:Cinq nô.djvu/191

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I SOTOBA-KOMACHI rw € a Vraiment cette mendiante posséde Pintelligence », [disent Les moines, et courbant leurs fronts jusqu’a terre, lls la saluent par trois fois. Le walzi et le waki-zure se prosternent devant le sbite. snare. Et moi maintenant enhardie, ]’aioute une poésie plaisante ; 4 Si c'était au paradis, certes se serait mal; [t-il (‘) ?» Mais hors de la, sur un stupa, quel inconvenient y a- cn-mzun. Ah ! que Fenseignement de ces moines est difficile (‘) ! (bis). Le waki et le waki-(ure reprennent leur place ordinaire au pied de la colonne. SCENE rv. wax!. Voila une mendiante d'une intelligence extraordi- naire. je veux lui demander quel fut autrefois son nom. Hola,mendiante! Dis-nous le nom que tu portals autre- fois. I SHITB. Eh bien, soit; malgré la honte que j’en éprouve, ie vais vous dire mon nom. Il se leve et fait un pas en avant. Ie suis la fille d'Ono no Yoshizane, chef de district [du pays] de Dewa; Voila a quelle extrémité est réduite Ono no Komachi.