rFT" l‘E': 0 H A R A 0 0 K 0 ms I Ni par l’art du peintre en un tableau Ni par le pinceau (‘) ne sauraient étre égalées. Ici s’éléve une chapelle. I e Ses tuiles sont brisées, et le brouillard vient y bnhler A [un perpétuel en ns; Ses portes sont tombées, et la lune Y suspend une lampe éternelle (’). » N’est-ce pas Ce lieu méme [que décrivent ces vers] P Ah! qu'il est [émouvant (ifs) ! SCENE rv. wm; (se tournant vers la cabane). ll semble bien que ce soit lin la retraite de la Nybin. Au toit grimpent des lianes et des volubilis, Et des ansérines ferment solidement l’entrée ('). Ah! que l’aspect en est impressionnant l (Appelant) Holél je demande l’entrée de cette r t 't . Aw,A no mugm (de l’intérieur de la cabane). Qui étes-vous? wAK1. je suis le chunagon Made-no·k6ji. AwA no mus:-u. Est-ce possible? En ces montagnes ou les passants sont si rares, quelle raison vous améne? wzuu. La voici : l’Empereur·moine s’est rendu ici pour visiter la demeure de la Nyoin.
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