Page:Cinq nô.djvu/227

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‘ "F?-?"“`”S” it OHARA G0 KO `ang N loute ma reconnaissance pour sa visite P Mais cette porte de rameaux tressés! Meme un court . [instant , Est·il donc possible que vous daigniez demeurer la (‘)? (bis). Ulmpératrice et Dainagon no tsubone sont entrees en scene. Celle-ci va se placer devant le chceur, e coté d’Awa no naishi ; la premiere reste au milieu de la scene oi: elle Q s’accr0upit tournée vers l’Empereur. i surre.

 cje ne l’avais pas pensé, qu’au fond des montagnes éta- ‘
 [blissant ma demeure,

[ A la lu ne du séjour des nues ie dusse jamais dire adieu (’) ! » I Au rappel de ces souvenirs, I Pour votre visite impériale jusqu’en ce pays de monta- - 3 [gms.

 je me sens de plus en plus pénétrée de gratitude.
 1.’1zMr>muzuR.
 Quelqu’un disait dernierement que la Nyoin avait pu

[ contempler de ses yeux le spectacle des six voies (‘). C’est

 liz, certes, une chose fort étonnante, car on ne saurait voir

p cela a moins d’avoir atteint au rang de buddha ou de . Q bodhisattva. sr-irre. I ll plait a l’Empereur de parler ainsi; mais si je réfléchis i es Si je considere mon étre, [a ce que ie suis. i C’est une herbe dont les racines ont été arrachées du

 [front de la rive;

Q CHGEUR.

 Si je recherche ce qu'est ma vie,

C’est une barque qu’aucun lien ne retient au bord du l [fleuve (‘). » & l