Page:Cinq nô.djvu/257

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Y N 0 T S U z U M 1 wma. Un oix s'éléve. SCENE 1v. Le rusleau du gz ` a se leve, le nocbi-jitc commence ' h chanter de l'intérieur et s’avance peu in peu sur le pt nt. II porte la perruque blanche dite sbiro-gasbira, un masque de démon du genre aku-j6, l’atsu»-ita et l’6gu¢bi; il s’app i s r L une canne, et un ucbique, sorte de petit maillet Ea long . manche, arme ordinaire des démons, est passé dans sa cein- ture. uoc:-u-jrre. Du vieillard Devenu poussiére tlottante en cet étang, comme les [va u S cr-roauk. Reviennent sur elles-mémes, reviennent Yattachement et ¤ ' [la rancceur. ~ surrn. · De plalnte, de rancoeur, i ll serait insensé de parler ici. Combien insensé ll entre en scene, laisse tomber sa canne et saisit n maillet. cuaauk. Fut ce mauvais amour dont la colére me posséde. C tte [ran (Bur Ne s’éteindra pas, non, elle ne s’éteindra pas; Les nuages [qui ont obscurci] mon cozur ne se dissi ont

 Et me voici devenu un démon des enfers. pas*

~ Sum;. I oc Aux champs d’Oyama L’eau des riziéres méme vint-elle A tarir,