Page:Cinq nô.djvu/52

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M rurnonucrrou Le waha suit généralement la danse du shite, pend laquelle les chants se sont tus. Celul-ci, immobile mstant au milieu de la scene, in la place nommée dais mae,l’éventail ouvert cachant le visage, le commenced chante seul le premier vers ; le chmur le reprend et con _ tinue le morceau, pendant que le shite execute une nouvelle danse assez courte et d’un caractere different de la precedente. ll compte en moyenne de six in hui: vers, renfermant généralement des allusions plus ou moins directes at la danse et as ses mouvements. ll est meme parfois plus court, et manque completemem dans certaines pieces ou cette seconde danse plutét joyeuse ne saurait trouver place. On considere communement les waha comme des restes des chants et des danses des anciennes shim- byéshi; elles chantaient en effet des waka, oc chants iaponais », ainsi nommes par opposition aux chants chinois, ou pour parler plus précisément, des imayé. dont la forme reguliere comprend quatre vers de I2 (5+7) syllabes. La pose que prend it ce moment lc shite, et qui est, il faut bien le dire, fort peu favorable] au chant, est d'ailleurs une de celles dans lesquelles les anciennes peintures aimenta representer les sbirabydshiw M t Entin on nomme kiri, oc finale » dirions·nous, le} chceur genéralement assez court et de forme libre quit termine la piece. ll s’enchaine au walra avec lequel = souvent il ne fait qu’un tout. Les termes nalra-iri et lmdoki sont parfois appliqués Q1 certains passages. lls ne désignent pas de formes parti-