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FAC-SIMILÉ DES DERNIÈRES LIGNES DES MÉMOIRES DE MADAME ROLAND ÉCRITS À SAINTE-PÉLAGIE
[… Je ne sais plus conduire la] plume au milieu des horreurs qui déchirent ma patrie, je ne puis vivre sur ses ruines, j’aime mieux m’y ensevelir. Nature, ouvre ton sein, Dieu juste, reçois-moi ! (Paraphe habituel de Madame Roland). À trente-neuf ans.