un des plus chauds partisans de la loi contre l’Internationale des travailleurs.
Et de huit : M. BOREAU-LAJANADIE. Fut tout particulièrement désigné pour faire partie de cette commission en raison de sa profession de botaniste.
— Il nous faut, lui disaient ses collègues, un homme ayant vos connaissances pour extirper les mauvaises herbes.
Et de neuf : M. le vicomte Timothée-Antoine-Arthur de CUMONT.
— Devinette : chercher dans ces quatre noms celui qu’il y aurait plus d’inconvenance à retourner que sa veste.
Un des plus chauds partisans de l’infaillibilité du pape.
Et de dix : M. le vicomte Louis-Ladislas-Marie-Marc de SAINT-PIERRE… Ouf ! Administrateur des chemins de fer du Nord, décoré, cela va sans dire. Bien qu’il n’ait jamais fait de politique militante, les électeurs du Calvados l’envoient en février 1871, à l’Assemblée nationale où, croyant combler les vœux de ses électeurs, il fait de la politique à la mode de Caen.
Et de onze : M. de LA ROCHETHULON. Une particule et pas de dossier ! À quoi pensent les biographes ? Ils consacrent jusqu’à des deux et trois colonnes au plus vulgaire des Tropmann et