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V



ALPHONSE RABBE



« Il faut que j’écrive mes Ultime lettere. Si tout homme ayant beaucoup senti et pensé, mourant avant la dégradation de ses facultés par l’âge, laissait ainsi son testament philosophique, c’est-à-dire une profession de foi sincère et hardie, écrite sur la planche du cercueil, il y aurait plus de vérités reconnues et soustraites à l’empire de la sottise et de la méprisable opinion du vulgaire. — J’ai, pour exécuter ce dessein, d’autres motifs. Il est de par le monde quel-