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Page:Claude Boyer - Porus ou la Générosité d’Alexandre, 1648.djvu/74

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ALEXANDRE.

Qu’on dépêche.

ARSACIDE.

Sa mort flétrira ta mémoire,
Et c’est pour ton malheur que le Ciel a permis
Qu’on compte un vil esclave entre tes ennemis.
Donne d’autres objets à ta noble colère ;
Tu vois en moi l’auteur du coup qu’il n’a su faire
Et ce lâche n’a rien digne de ton courroux.

ALEXANDRE.

Qu’on l’ôte de mes yeux.

PORUS.

Soldats que tardez-vous ?