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Page:Cleland - La Fille de joie (éd. 1786).djvu/229

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ſi rondes ! ſi admirablement potellées, que rien au monde ne pouvoit engager davantage à l’attouchement ; auſſi le jeune gars profita-t-il de toutes ces beautés, & ôtant doucement la main d’Emilie, que ſa pudeur lui avoit fait porter ſur certain endroit, il ne nous donna qu’une lueur de ſa petite fente, qui alloit ſe perdre entre ſes cuiſſes. Mais on voyoit d’autant mieux le duvet noir qui l’ombrageoit, & dont la beauté étoit encore relevée par la blancheur qui l’entouroit. Le drôle eſſaia alors de mieux expoſer au jour cette partie, en écartant ſes cuiſſes ; mais il n’en put venir à bout. Il la mit donc ſur le pied du lit, & appuyant ſa tête ſur un couſſin, il nous fit voir le centre de l’attraction & tous les charmes qui l’environnoient. La tournant alors, il offrit à nos yeux la plus belle croupe du monde : ſes deux feſſes charnues, blanches & rebondies, reſſembloient à deux monticules de neige, au bas deſquelles on appercevoit une