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Page:Closset - L’Ombre des roses, 1901.djvu/21

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Voici de pourpres géraniums,
Les derniers du nouvel automne ! …

De beaux fronts blancs d’adolescents,
Dans les jardins et les sous-bois,
Rêvent d’une fois… une fois !

J’aime les pourpres géraniums.


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