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Page:Coeur-Brûlant - Les Cousines de la colonelle, 1911.djvu/147

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Les Cousines de la colonelle, Bandeau de début de chapitre
Les Cousines de la colonelle, Bandeau de début de chapitre


CHAPITRE X


Les voyages sont un passe-temps délicieux, mais on a beau avoir avec enthousiasme salué les merveilles disséminées aux quatre coins du monde, on ne ressent pas moins un sentiment de quiétude inexprimable, lorsque Paris s’annonce pour vous à l’horizon. Paris, la ville des rires et des amours, des intelligences et des imbéciles, le seul endroit où, qui que vous soyez, sur quelque degré de l’échelle sociale que vous soyez placé, vous êtes certain de trouver un groupe qui vous est similaire.

Le petit hôtel de la rue de Courcelles, en fête pour recevoir sa maîtresse, Dorothée ayant envoyé une dépêche à Baptiste,