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LES COUSINES DE LA COLONELLE
vement d’un baiser ; puis quelque chose
de chaud, de doux l’inonda ; le spasme
déjà connu se reproduisait cette fois avec
une intensité particulière ; tout son être
tressaillait ; elle perdit conscience de ce
qui se passait et ne se réveilla que quelques
instants après sous les baisers de Georges.
![Les Cousines de la colonelle, Vignette de fin de chapitre](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/20/Coeur-Br%C3%BBlant_-_Les_Cousines_de_la_colonelle%2C_1911_-_Vignette_4.tif/lossy-page1-70px-Coeur-Br%C3%BBlant_-_Les_Cousines_de_la_colonelle%2C_1911_-_Vignette_4.tif.jpg)