Page:Coiffier de Moret - Les enfans des Vosges, tome 1, 1808.pdf/121

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
(113)

peine respirer. J’écoutais en revanche avec la plus grande attention le colloque qui s’était établi entre trois ou quatre personnes qui semblaient se disputer la place, pour voir la chose incroyable que l’une d’elles leur avait annoncée.

— Mais il y a donc quelqu’un qui habite là ? — Mais il y a donc quelque porte pour entrer là ? — Cette lumière ne peut pas s’être allumée toute seule ! — J’ai fait encore tout-à-l’heure le tour de la ruine, d’ailleurs je la connais depuis long-tems, il n’y avait d’entrée pour aller dans ce caveau, que celle qui a été bouchée par le dernier éboulement, comme je viens de vous le faire remarquer. — C’est bien singulier ! — C’est