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voyait clair. J’avais beau dire, j’eus bien de la peine à lui faire trouver mon logement commode et surtout agréable. Je lui fis visiter la citerne et boire de son eau, qui était très-supportable. Il convint que cette ressource, sur le haut d’une montagne, était d’un grand prix. Nous visitames ensuite les catacombes : il regardait tout d’un air étonné et pensif. Henriette serait bien surprise si elle venait ici, me dit-il tout-à-coup. — Il faudra l’amener, lui répondis-je. — Elle n’osera jamais entrer, si vous n’allez pas la chercher jusqu’à la tour. — Et toi, oseras-tu bien revenir tout seul ? — Je crois que je m’y accoutumerai. Au fait, toutes ces figures,