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Page:Coignet - Aux Vieux de la vieille, 1853.djvu/190

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me promirent obligeamment de m’aider de leurs conseils. Je fus fêté de tout le monde.

Voilà comment s’ouvrit ma petite carrière militaire. Je dois à mon capitaine Renard et à M. Belcourt, d’être sorti des rangs où je croyais toujours rester.


FIN DE LA PREMIÈRE LIVRAISON.