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plissement de cette triste mission, et je fus obligé d’employer jusqu’aux forcats internés dans les prisons de la ville. Encore fallait-il les menacer de la mitraille pour les déterminer à marcher.
L’armée resta quelque temps à Mayence pour se reposer de ses fatigues, et l’empereur profita de ce temps pour préparer la campagne de France, qui allait s’ouvrir.