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Tous ces cœurs désunis, tous ces esprits divers,
Tu peux les rallier au charme de tes vers ;
Et si de notre siècle enfin tu désespères,
Pense aux temps à venir comme l’ont fait nos pères.
La vie est si rapide et le trépas si prompt,
Poète, il faut chanter pour ceux qui nous suivront.