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LA VOIX D’UNE MÈRE.
Enfant qui seras femme,
N’ouvre jamais ton âme
Qu’aux modestes vertus ;
Que ta charité sainte
Berce et calme la plainte
des esprits abattus !
Enfant qui seras femme,
N’ouvre jamais ton âme
Qu’aux modestes vertus ;
Que ta charité sainte
Berce et calme la plainte
des esprits abattus !