Page:Collectif - Le livre rose - 4.pdf/33

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sort de la pauvre Amélie. Cependant, quelque triste qu’elle fût de ce souvenir, il fallut qu’elle s’assît au piano pour accompagner ses sœurs ; c’était une tâche bien difficile, car elles n’avaient de talent ni l’une ni l’autre ; on ne les accabla pas moins de louanges exagérées. Ces complimens les ayant disposées à la gaîté, elles proposèrent de danser : on chercha Lionel, mais il avait disparu.