Cette page a été validée par deux contributeurs.
» Le lendemain ils trouvèrent de nouveau le corps hors du tombeau sans qu’il parût qu’on y eût travaillé. La même chose arriva jusqu’à cinq fois ; enfin ils l’enterrèrent, comme ils purent, loin du cimetière, dans une terre profane ; ce qui remplit les seigneurs voisins d’une si grande terreur qu’ils vinrent tous me demander la paix[1]. »
N’est-ce pas là, comme dit Dom Calmet, un fait incontestable ? Celui-ci n’est pas moins digne de foi. Jean Bromton raconte dans sa chronique,
- ↑ Concil., t. IX, p. 902. Pour qu’un coupable puisse être absous, il faut qu’il ait la contrition. Comment donc un prêtre pouvait-il absoudre de sa propre puissance un mort, incapable de repentir ?