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jour de folie ou de frayeur[1].
Guymond de la Touche eut, dit-on, un sort tout semblable. Il était allé chez un prétendu sorcier dans le dessein de découvrir les ruses qu’il mettait en usage : il accompagnait une grande princesse, qui montra en cette occasion plus de force d’esprit que
- ↑ Dictionnaire infernal, au mot Convulsionnaires. — Les mêmes esprits faibles, qui mouraient en Allemagne et en Lorraine par la peur des morts Vampires, gambadaient à Paris, et faisaient mille extravagances sur le tombeau du diacre Pâris. La carcasse d’un saint, que Rome a rejeté par la suite, fut apportée à Dijon au 9e siècle. Ceux qui s’approchaient de cette carcasse faisaient des contorsions épouvantables, comme nos convulsionnaires de 1732. On fut obligé de la faire disparaître.