payer la dîme si on ne veut pas être mangé par le diable.
Romans d’Anne Radcliff. — Tout le monde connaît ces horreurs auprès desquelles on peut ranger le Moine, de Lewis, etc. etc.
Saint-Albin. — Les contes noirs, ou les frayeurs populaires, nouvelles, contes, aventures merveilleuses, bizarres et singulières, anecdotes inédites, etc., sur les apparitions, les diables, les spectres, les revenans, etc. ; par J. S. C. Saint-Albin ; 1820. Deux vol. in-12. Chez Mongie aîné, Prix, 5 fr.
Il y a dans ces deux volumes des nouvelles aussi effrayantes pour le moins que les romans d’Anne Radcliff ; mais elles sont entremêlées de contes divertissans. On y trouve aussi plusieurs spectres à qui il ne manque que le nom de Vampires.
Salgues. — Des erreurs et des préjugés