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Page:Collin de Plancy - Les contes noirs - T1.djvu/62

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Aussitôt elle le prit par la main et le transporta, à travers les airs, dans une solitude écartée. Ce fut là qu’il vécut quelques années encore, priant le ciel pour sa bien-aimée, qui venait tous les soirs ranimer son courage. Il mourut dans ses bras, et maintenant tous deux, dans un monde moins barbare, ils sont unis, sans craindre de se voir séparés.