Page:Comédie humaine - Répertoire.djvu/219

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tions sans nombre, dut vendre les Aigues, Gaubertin se rendit acquéreur des bois, et ses complices, Rigou et Soudry, obtinrent les vignes et les autres lots (Les Paysans).

Gaubertin (Madame), née Isaure Mouchon, en 1778. — Fille d’un conventionnel ami de Gaubertin père ; femme de François Gaubertin ; minaudière jouant, à la Ville-aux-Fayes, le rôle d’une élégante à grands effets, elle donnait dans le genre passionné-vertueux. Elle avait, en 1823, pour attentif, le procureur du roi, son patito disait-elle (Les Paysans).

Gaubertin (Claude), fils de François Gaubertin, filleul de mademoiselle Laguerre, aux frais de qui il fut élevé à Paris ; l’avoué le plus occupé de la Ville-aux-Fayes, en 1823 ; il parlait, après cinq ans d’exercice, de vendre son étude. Peut-être devint-il juge (Les Paysans).

Gaubertin (Jenny), fille aînée de François Gaubertin. — V. Leclercq (madame).

Gaubertin (Élisa ou Élise), seconde fille de François Gaubertin. — Aimée, courtisée, espérée, dès 1819, par le sous-préfet de la Ville-aux-Fayes, M. des Lupeaulx (neveu). M. Lupin, notaire à Soulanges, recherchait, d’autre part, la main de la jeune fille pour son fils unique, Amaury (Les Paysans).

Gaubertin-Vallat (Mademoiselle), en 1823, vieille fille, sœur de madame Sibilet, la femme du greffier du tribunal de la Ville-aux-Fayes ; tenait le bureau de papier timbré dans cette petite ville (Les Paysans).

Gaucher, était, en 1803, petit domestique de Michu, le régisseur de la terre de Gondreville. — Par ses bavardages, plus ou moins désintéressés, cet enfant tenait le fermier Violette au courant des moindres faits et gestes de son maître, qui, pourtant, le croyait fidèle (Une Ténébreuse Affaire).