main ; liée avec les Navarreins et les Grandlieu ; femme de conseil et d’expérience ; vrai chef de sa maison ; décédée vers 1819 (Histoire des Treize : la Duchesse de Langeais).
Marigny[1] (De), fils de la précédente, agréable écervelé, s’amouracha de madame Keller, bourgeoise de la Chaussée-d’Antin (Histoire des Treize : la Duchesse de Langeais).
Marin (Le père), en 1839, vieil ouvrier parisien à qui l’abbé de Vèze refusait de s’intéresser (L’Envers de l’Histoire contemporaine).
Marin, en 1839, à Cinq-Cygne, dans l’arrondissement d’Arcis-sur-Aube, premier valet de chambre de Georges de Maufrigneuse et protecteur d’Anicette (Le Député d’Arcis).
Marion, d’Arcis, petit-fils d’un intendant de la maison de Simeuse ; beau-frère de madame Marion, née Giguet. — Il jouit de la confiance de Malin, acquit pour lui la terre de Gondreville et devint avocat dans l’Aube ; puis président d’une cour impériale (Une Ténébreuse Affaire. — Le Député d’Arcis).
Marion, frère du précédent et beau-frère du colonel Giguet, dont il épousa la sœur, devint, avec Sibuelle, par l’influence de Malin, co-receveur général de l’Aube (Une Ténébreuse Affaire. — Le Député d’Arcis).
Marion (Madame), femme du précédent, sœur du colonel Giguet. — Elle fut en relations avec Malin de Gondreville, survécut à son mari, abandonna Troyes et, revenue dans son pays natal (Arcis), eut un salon très fréquenté. Sous Louis-Philippe, madame Marion usa de son crédit en faveur de Simon Giguet, fils du colonel (Une Ténébreuse Affaire. — Le Député d’Arcis).
Marion. — V. Kolb (madame).
Mariotte, Bretonne, née vers 1794, sous Louis-Philippe, servait, avec Gasselin, chez la famille du Guénic, à Guérande (Béatrix).
- ↑ Dans les siècles derniers, des Marigny eurent, avant les Verneuil, Rosembray, domaine où une grande chasse réunit, en 1829, Cadignan, Chaulieu, Canalis, Mignon, etc., etc.