Page:Commentaire philosophique sur ces paroles de Jésus-Chrit contrain-les d'entrer.djvu/8

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V) POR E

ŒAALCRE, Ence qu’ils faisoient aux Heéretiques pour les retirer de leurs égeremens. Il me témoionoit souhaiter paffisinement que son refutät cette chimère des per[écuteurs, © cornme si croioit avoir rerncraqué en moi non seulement une

☞ enation extréme des persécutions y ais auf} quelque ceñtume de chercher les bonnes raisons des choses, il me ait aw’il me croioit propre a cette entreprise, © il me repréfènta qu’y réussif- sant ; comme ill’efbéroit | je pourrois rendre un grand service à la bonne cause, € même à tout le monde. Il ajoûtoit qu’il avoit un Tradutleur tout prêt qui mettroit [ ! non cnbezu Francois | au moins en ’file bien nteligille ce que je composeross en ma langue.

Te lui répondis que je ne présumois pas cÎlex de ma fufifance pour croire que je pulfe rien produire de ce qu’il me disoirla ; © que j’avois encore moins bonne 0pinion des Convertisseurs que Je croiois incapables de [ë corriger jan : ais, au point 04 étoit venue leur bizarre préocupation, AS gwen général les livres ne faisoient qu’a-


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