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LES PANTINS
m’aimes, encule-moi ; ce n’est pas assez de t’être satisfait, procure-moi du plaisir : l’intromission d’un vit pénétrant en moi par la porte de derrière, me cause des ravissements inexprimables.
le compère mathieu.
Et en bougre parfait tu la sodomisas ! Je te vois venir.
fortin.
Et pourquoi pas ? Il faut tâter un peu de tout dans la vie.
le compère mathieu.
Et puis, en as-tu foutu quelques autres ?
fortin.
J’ai branlé Julie Diancourt ; j’ai bougrifié Talon ; j’ai foutu la mère de celle-ci ; Duricher m’a branlé le vit, mais maintenant je m’amuse peu aux clitoris des héroïnes de coulisses : depuis que le numéraire est si rare, il faut prendre garde à soi, et j’aime