» On a trouvé pour l’altération de l’excentricité, pendant la même période, . En supposant donc, selon Burckhardt, l’excentricité de l’orbite en 1759 égale à 0,967557, on aura en 1835 :
» Si l’on nomme l’inclinaison de l’orbite mobile de la comète sur le plan de son orbite en 1759, et la longitude de son nœud ascendant comptée du périhélie et dans le sens du mouvement de la comète, et qu’on fasse
on trouvera
d’où, en prenant celle des deux valeurs de qui donne pour une valeur positive, on conclura
» Si l’on nomme ensuite l’inclinaison de l’orbite de la comète à l’écliptique et la longitude de son nœud ascendant en 1759, et que l’on considère le triangle sphérique compris entre l’écliptique, le plan de l’orbite vraie de la comète et le plan de son orbite fixe, triangle dans lequel on connaît le côté et les deux angles adjacens et , on trouvera
pour le mouvement direct du nœud ascendant sur l’écliptique |
14′ 54″ |
pour l’inclinaison de l’orbite en 1835 |
17° 44′ 3″ |
» Enfin, le calcul des perturbations ayant donné pour la variation du périhélie
» En supposant donc la précession des équinoxes dans l’intervalle de 1682 à 1759 de 1° 4′ 5″, on aura
Pour la longitude du nœud ascendant en 1835 |
54° 59′ 10″ |
Pour la longitude du périhélie sur l’orbite |
304. 21. 38 |
» En rassemblant les résultats précédens, on aura pour les élémens de