Page:Conan - La Sève immortelle, 1925.djvu/78

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d’être aimé… Tout chante en lui… rien ne l’inquiète… La vie est douce, la jeunesse éternelle.

Et le docteur détacha son cheval en fredonnant :



« Ah ! si l’amour prenait racine,
« J’en planterais dans mon jardin. »