Page:Condillac - Traité des sensations, 1754, tome I.djvu/13

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

nous ne jugerons comme elle, que quand nous nous ſuppoſerons privés de tout ce qui lui manque. Je crois que les Lecteurs, qui ſe mettront exactement à ſa place, n’auront pas de peine à entendre cet Ouvrage ; les autres m’oppoſeront des difficultés ſans nombre.

On ne comprend point encore ce que c’eſt que la Statue que je me propoſe d’obſerver ; & cet avertiſſement paroîtra ſans doute dé-