Page:Condorcet - Œuvres, Didot, 1847, volume 11.djvu/687

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Chapitre iii. — De la popularité des auteurs prohibitifs. 
 187
Chapitre iv. — Des préjugés du peuple sur le commerce des blés 
 197
Chapitre v. — Des préjugés de ceux qui ne croient pas être peuple 
 211
Chapitre vi. — De quelques lois proposées par les prohibitifs 
 232
Chapitre vii. — Des obstacles qui s’opposent au bien que la liberté doit produire 
 239
Conclusion 
 248
Fragments sur la liberté de la presse 
 253
i. Principes généraux 
 255
ii. Dans quel cas un écrit peut-il être un crime public ? 
 258
iii. Dans quel cas un livre peut-il être un délit particulier ? 
 272
iv. Des circonstances où un livre peut être un délit à l’égard d’une personne publique 
 276
v. Comment un livre peut être un délit à l’égard d’un corps 
 285
vi. Des délits commis par les livres, considérés dans les principes de la politique, ou examen de cette question : Les gouvernements ont-ils intérêt d’établir des peines contre les auteurs, dans les cas que nous avons exposés ? 
 285
vii. Quelles lois, d’après les principes précédents, convient-il d’établir contre les auteurs des livres ? 
 294
Des imprimeurs, marchands et distributeurs 
 302
De la police des livres. Des défenses de lire ou de garder chez soi certains livres 
 303
Conclusion 
 311
Mémoire sur le canal de Picardie. 1780 
 315
Avertissement 
 317
Plan d’un emprunt public, avec des hypothèques spéciales. 1789 
 351
Sur les opérations nécessaires pour rétablir les finances. 1790 
 363
Sur les caisses d’accumulation. 1790 
 387