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Page:Condorcet - Œuvres, Didot, 1847, volume 12.djvu/427

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intérêts, dociles à la voix de la raison, bientôt ces défauts seront réparés, avant même qu’ils aient pu nuire : ainsi, la nature qui a voulu que chaque peuple fût l’arbitre de ses lois, l’a rendu également l’arbitre de sa prospérité et de son bonheur.