Page:Condorcet - Lettres sur le commerce des grains.djvu/6

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pourvu que je puisse arracher un seul homme à un préjugé funeste pour mon pays. Si les livres qu’on m’annonce me fournissent quelques idées, je les communiquerai à mon ami, & il sera le maître de faire imprimer mes Lettres. Mais je lui écrirai toujours comme si lui seul devoit les voir.

Je ne pourrois écrire une ligne, si je songeois que c’est pour le Public que j’écris.