Page:Congreve - L’Inde, 1858.djvu/113

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ou sont au moins tout prêts de leur être incorporés ; il faudrait nous faire voir que si le sentiment d’intérêt commun n’a pas entièrement éteint le sentiment d’humiliation nationale, il tend du moins à le faire disparaître. Ou seulement on devrait nous donner l’espérance que cette union pourra s’opérer dans un avenir si éloigné qu’il puisse être ! Certes, voilà bien des concessions, et je place mes adversaires dans une situation on ne peut plus favorable. Néanmoins je ne les crains pas. On aurait encore pu

    pour le bien de cette nation. Je maintiens qu’il sera absolument impossible d’élever leur position et de leur faire une situation convenable, tant est immense la haine que leur portent les Européens. »