Page:Congreve - L’Inde, 1858.djvu/149

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C’est pourquoi, dans les pages suivantes, je m’adresse à deux classes, parmi lesquelles j’ai l’espérance de les voir plutôt pénétrer : ce sont les femmes et les prolétaires anglais. S’ils me font défaut, mes convictions n’en seront pas ébranlées, car ce sont bien elles qui m’ont donné le courage, comme serviteur avoué de l’humanité, d’élever la voix contre l’occupation prolongée de l’Inde par l’Angleterre. Je me suis élevé en faveur d’un grand peuple, jusqu’alors injustement opprimé, et qui combat aujourd’hui pour son affranchissement ; en cela, j’ai ouvertement défendu ce que je considère comme la raison et la justice, contre l’erreur et l’égoïsme.