Page:Congreve - L’Inde, 1858.djvu/79

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de toutes ces solutions qui me semblent incohérentes et immorales, d’autant plus même qu’elles semblent avoir plus de consistance. Cette philosophie prétend ouvertement à une application universelle ; je suis convaincu que cette prétention est fondée : je ne puis donc rester silencieux.

Pour l’Inde, comme pour Gibraltar, c’eût été une illusion de supposer que, dans l’état actuel de l’opinion, la politique que je propose pût obtenir un assentiment immédiat. Ces deux cas diffèrent cependant, la possession de Gibraltar ne devant probablement pas être discutée de longtemps, tandis que pour l’Inde la question est soulevée. Il est possible, et même probable, que la lutte qui s’est engagée contre