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Nous donnons notre adhésion à l’adresse ci-dessus, en désirant, toutefois, que la question de l’indemnité soit exprimée d’une manière plus positive et sans laquelle nous ne pourrions nous associer à une transformation qui occasionnerait notre ruine.
Ensuite est la légalisation donnée par le maire aux signatures des habitants.
No 18. — COMMUNE DE LA CAPESTERRE.
J’ai l’honneur de vous retourner la pétition que le conseil colonial, que vous présidez, a cru devoir, dans l’intérêt du pays, adresser à Sa Majesté, et que vous aviez bien voulu m’envoyer.
Vous remarquerez que, pour prouver leur adhésion à cette importante démarche, tous les grands propriétaires de la Capesterre y ont apposé leur signature.
Daignez agréer, monsieur le général, l’hommage de mes sentiments les plus distingués.
Signé J. Poyen.
Au bas de l’adresse du conseil colonial au roi se trouvent apposées les signatures des principaux habitants, au nombre de 32.
Pour copie conforme aux pièces originales déposées aux archives du conseil colonial,
Signé Ch. Mercier.
Basse-Terre, le 7 août 1847.