puissance de faire toute chose à son appétit. » pag. 364.
« Il est des lois que les rois eux-mêmes se sont avoués, suivant l’expression devenue célèbre, dans l’heureuse impuissance de violer ; ce sont les lois du royaume, à la différence des lois de circonstances ou non constitutionnelles, appelées lois du Roi. » pag. 29 et 30.
« Ainsi, par exemple, la succession à la couronne est une primogéniture masculine, d’une forme rigide. »
« Les mariages des princes du sang, faits sans l’autorité du Roi, sont nuls. » 262.
« Si la dynastie régnante vient à s’éteindre, c’est la nation qui se donne un roi. » 263, etc., etc.
« Les rois, comme législateurs suprêmes, ont toujours parlé affirmativement, en publiant leurs lois. Cependant il y a aussi un consentement du peuple ; mais ce consentement n’est que l’expression du vœu, de la reconnoissance et de l’acceptation de la nation. » 271[1].
- ↑ Si l’on examine bien attentivement cette inter-