Page:Constant - Adolphe.djvu/173

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vis se lever pâle et prophétique : Adolphe, s’écriait-elle, vous ne savez pas le mal que vous faites ; vous l’apprendrez un jour, vous l’apprendrez par moi, quand vous m’aurez précipitée dans la tombe. – Malheureux ! lorsqu’elle parlait ainsi, que ne m’y suis-je jeté moi-même avant elle !