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LETTRES DE BENJAMIN CONSTANT

aujourd’hui parce que j’ai deux ongagcmenls ; de sorte que, pour aujourd’hui, mon observation est désintéressée. Elle pourrait bien ne pasTètre pour demain.

CVIII

Voici une l.’iirc ([ne j’ai envie de faire insérer dans les jouiiiaux, mais je suis indécis ; parce que je ne sais si mon nom servira à ce pauvre La Bédoyère. Décidez-juoi. Vous êtes ma lunnère cl ma conscience ; mais renvoyez-la tout de suite, sans quoi il serait trop tard.

CIX

J’ai vu hier madame de Krüdner’, d’abord avec du monde, ensuite seul pendant plusieurs heures.

. Jnlif ilo Wiftingliof, baronne <lo Kriidnor, n « o à Rign lo -I novomliro I7(il, morte le —’2 déroinbrt’IS-Jl. Son |>èrc élait un •les pins ^’rands seijjncnrs de la Livonie, ri, par sa nicro, Julie de