Page:Contes chinois publies par Abel-Remusat, 1827, tome second.djvu/125

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AVERTISSEMENT
De l’auteur Chinois.


En voulant nuire à autrui, c’est à soi-même qu’on nuit.
Les ruses les mieux concertées se découvrent à la fin.

On dit communément : quiconque ôte la vie à un autre doit la perdre : c’est une loi universellement reçue, et qui est nécessaire à la société. C’est pour cela qu’il est si difficile de faire passer