Page:Contes de Madame de Villeneuve, tome 2.djvu/190

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également propre à fournir aux plus simples amusemens, comme aux occupations les plus sérieuses, dit avant que de se retirer, qu’il vouloit parler à son tour, & que ce seroit lui qui entretiendroit la compagnie le jour suivant.

Je sais, dit-il avec un sérieux tout-à-fait persuasif, une quantité d’extrêmement belles histoires dans le même goût. Nous autres voyageurs dans les pays lointains, nous en voyons, nous en entendons dire de fort merveilleuses, & je me vante d’en savoir de si belles, que Mademoiselle de Robercourt sera contente de moi.

FIN.