Aller au contenu

Page:Coote - Mémoires de Miss Coote, 1911.djvu/35

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 31 —

ral, elle sait trop bien ce qui l’amène ici pour qu’il soit utile de le lui dire. Tenez, Rosa, passez-moi cette grosse poignée de verges, la petite ne serait qu’un joujou pour son gros cul, Ha ! Ha ! celle-ci fera bien l’affaire ! ajouta-t-il en la faisant siffler dans l’air.

Jane et la gouvernante l’avaient déjà dépouillée de la robe bleue, et étaient en train de lui enlever le jupon blanc bordé de dentelle ; le bouquet, tombé sur le parquet, la victime se trouva en chemise et pantalon, et je pus admirer sa poitrine bien prise, son cou harmonieux et surtout ses jambes pleines et rondes dans leurs bas de soie rouge, retenus par d’élégantes jarretières (le général était très exigeant sur la toilette de ses pénitentes).

J’aidai à l’attacher et à dénouer son pantalon que Jane rabattit complètement, tandis que Mme Mansell retroussait et épinglait sa chemise, étalant dans leur magnifique plénitude ses fesses glorieusement charnues, dont la peau blanche resplendissait sous la clarté des flambeaux.

Je lui donnai quelques bonnes tapes pour lui montrer que je n’avais pas oublié celles qu’elle m’avait données, puis je m’écartai pour laisser la place à Sir Eyre.

J’étais si absorbée par ce fascinant spectacle que j’en oubliai totalement ce qui m’attendait moi-même.

Flac ! La grosse verge s’abattit avec une