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Page:Coote - Mémoires de Miss Coote, 1911.djvu/87

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cinglades adroitement dirigées, à lui faire manifester sa souffrance.

— Ah ! ah ! fais-je, en ricanant, elle s’obstine, elle ne veut pas répondre, elle veut que je frappe plus fort. Maria, apportez-moi une autre verge, car celle-ci ne va plus durer longtemps. Je commence à croire que Miss Andrey Clémentine Flaybum est réellement ivre elle-même, sans quoi elle ferait des excuses, aussi je veux la rappeler à la sobriété. Que dites-vous de cela et de cela, et de cela ?

Et, à chaque mot, je la cingle entre les deux grosses joues de son fessier, et, placée comme je suis sur elle, je meurtris les lèvres rebondies de sa fente, qui font une saillie très visible en haut de ses cuisses. Aussi, ne tarde-t-elle pas à pousser des cris de souffrance : « Ah ! ah ! oh ! c’est de la barbarie ! Abominables créatures, comment osez-vous me traiter ainsi ? »

J’éclate de rire à cette apostrophe et je continue : « Bravo ! son ébriété disparaît ; encore quelques bons coups de verge et l’effet du champagne disparaîtra ; ce sont toujours les ivrognes qui accusent les autres d’être ivres. Je scande chaque phrase de si vigoureux coups de verges que de petites traînées de sang apparaissent à la surface de ses fesses, coulent le long de ses cuisses et viennent perler sur la toison de sa fente. Loin d’éveiller notre compassion pour la victime, le tableau de sa